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Forum alfa romeo passion Index du Forum » Le bistrot des alfistes » L'ALFISTE LE PLUS RECHERCHE AU MONDE
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L'ALFISTE LE PLUS RECHERCHE AU MONDE
MessagePosté le: 09/11/2004 23:04 Répondre en citant
Invité




En Angleterre, à la fin des années 1940, John Haigh est condamné à mort pour avoir tué et dissous dans l'acide neuf hommes et femmes. La presse l'accuse en outre d'avoir bu le sang de ses victimes.


John Haigh naît dans le Yorkshire le 24 juillet 1909. Il sera enfant unique. Sa mère, âgée de 40 ans, a des tendances mystiques et adhère, avec son mari, à une secte : les Frères de Plymouth. La lecture de la bible est de rigueur. Madame Haigh punit son fils en lui frappant les mains au sang avec une brosse à cheveux munie de poils de sanglier. John Haigh prend l'habitude de lécher ses plaies.

CERTAINS ACIDES

Après une scolarité sans éclat, Haigh devient courtier en bourse et s'achète une rutilante Alfa Roméo. Ruiné, il épouse Béatrice Hammer, qu'il connaît à peine, et se lance dans des escroqueries. Fin 1934, les Frères de Plymouth l'excluent. Haigh se sépare de sa femme et retourne vivre chez ses parents. Plus tard, à Londres, il rencontre le jeune propriétaire d'un parc d'attractions, William Donald McSwan. De nouveau arrêté pour escroqueries, Haigh passe vingt et un mois en prison, qu'il met à profit pour monter un petit atelier de chimie afin d'expérimenter les effets de certains acides sur les souris.

Libéré, Haigh devient le comptable d'un certain Stephens, père de deux filles. Haigh fait la cour à la plus jeune, Barbara, à peine âgée de 15 ans. il sait la séduire par ses connaissances musicales tout en rassurant sa famille, qui voit en lui un futur gendre plein d'avenir.

Stephens et Haigh testent des inventions, font des expériences électriques et chimiques dans un atelier, et obtiennent des commandes. Tout va bien jusqu'au jour où John Haigh se fait renverser par une voiture. Blessé à la tête, hospitalisé, il fait de nombreux rêves sanglants d'une lande parsemée de croix. Dans son rêve, Haigh lèche les plaies de ces innombrables crucifiés qui, tous, ont le visage du Christ.

En septembre 1944, Haigh revoit William Donald McSwan. Après avoir fait l'acquisition d'un tablier et de gants de chimiste, d'une centaine de litres d'acide sulfurique, d'un tonneau en acier et autres accessoires, Haigh attire McSwan dans une remise et l'assomme à l'aide d'une barre de fer. Il lui tranche la gorge et, d'après sa confession, introduit une pipette dans la veine jugulaire et boit son sang. Puis il tasse le corps dans le tonneau rempli d'acide. Après avoir laissé le cadavre macérer durant deux jours dans son bain chimique, Haigh estime que le "corpus delicti" a été totalement dissous.

LE CRIME PARFAIT

II ne lui reste plus qu'à remplir des seaux avec la potion macabre, et à les vider dans un proche égout. Haigh triomphe : le crime parfait existe, il vient de l'accomplir. Sans victime, pas de coupable. Sur son petit carnet, en face du nom de son ami, à la date du 9 septembre, une croix à l'encre rouge. C'est un jeu d'enfant pour lui de soutirer une grosse somme d'argent aux parents McSwan, en leur faisant croire que leur fils a fui l'Angleterre pour échapper au service militaire et qu'il a besoin de fonds.

En deux mois, Haigh dilapide l'argent. Il décide d'un nouveau meurtre et, cette fois, achète un masque à gaz pour se protéger des émanations toxiques de l'acide, ainsi qu'une pompe pour faciliter le remplissage du tonneau. Haigh fait la cour à une veuve de guerre quadragénaire vivant à Hammersmith, la tue et la dissout dans l'acide après avoir pris son magot. Le 2 juillet 1945, Haigh invite les parents McSwan dans sa remise et les fait disparaître dans l'acicde. Puis il imite leurs deux signatures et s'empare de leurs biens, près de 6 000 livres, une petite fortune pour l'époque.

LA VEINE JUGULAIRE

Deux ans après l'assassinat des parents McSwan, Haigh loue dans le Sussex un atelier bien plus vas que sa remise exiguë, et achète plusieurs centain' de litres d'acide sulfurique, ainsi que des tonneau et autres accessoires. Il s'arrange aussi pour acqu rir un revolver. Il entre en contact avec le docte Henderson, 52 ans, et sa femme Rosé, 41 ans, q désirent vendre leur maison, et les tue d'une bal dans la tête. Toujours d'après sa confession, aurait bu une partie de leur sang à l'aide d'une pipette enfoncée dans la veine jugulaire. Dans son petit carnet d'adresses, en face des noms du do teur et de sa femme, deux croix à l'encre rouge. Dans les semaines qui suivent, Haigh règle si dettes et vend des objets ayant appartenu aux He derson. Il est resté en contact avec Barbara Stephens et la revoit régulièrement Quand l'argent vient à manquer. Haigh courtise ur vieille et riche dame de 69 ans, madame Olh Durand-Deacon, qui disparaît le 14 février 1949. La police enquête sur Haigh et découvre qu'il a dé fait de la prison. Une perquisition de sa "fabriqui permet de découvrir un tablier et des gants souilli d'acide sulfurique, un masque à gaz, des tonneai métalliques contenant des restes suspects, différents passeports et permis de conduire appartenant à des disparus, des vêtements de femme, des sacs à mains, un revolver Enfield de calibre 38, le fameux petit carnet d'adresses comportant, en face des noms des disparus, une croix rouge. Une enquête chez différents joailliers montre que Haigh est venu vendre des bijoux de femme, certains ayant appartenu à madame Henderson et à madame Durand-Deacon. Fin février 1949, John Haigh est arrêté. La police entreprend de sonder les terrains herbeux entourant sa "fabrique" du Sussex. Les analyses révèlent la présence de graisse humaine dans la terre, de trois calculs rénaux, d'une portion de pied humain droit, de dix-huit fragments d'os humains, ainsi que de dents humaines comportant des alliages. On retrouve aussi une lanière de sac à main et un tube de rouge à lèvres à moitié rongé par l'acide.

La dentition et le pied appartiennent à madame Durand-Deacon, ainsi sans doute que la graisse, la disparue étant obèse. Les chimistes de Scotland Yard remarquent que la graisse humaine résiste très longtemps à l'action de l'acide sulfurique, alors que le muscle et la peau sont rapidement dissous. Le contenu des tonneaux métalliques montre qu'ils ont servi à "traiter" des corps humains.

FRAGMENTS D'OS

Après avoir nié, Haigh avoue ses crimes mais prétend être fou puisqu'il boit le sang de ses victimes. La police est plus sceptique, les pipettes citées par Haigh n'ayant jamais été retrouvées. Emprisonné, Haigh espère être reconnu comme fou. Il écrit à Barbara Stephens, qui lui répond. Les

journaux évoquent en de longs articles le terrible sort de la vieille madame Durand-Deacon, attirée dans la fabrique du Sussex, tuée d'une balle dans la tête, puis saignée à la gorge à l'aide d'un petit canif que la police retrouvera dans la voiture du "vampire de Londres". Régulièrement, Haigh donne des conférences de presse et dévoile de nouveaux détails, atroces, sur la façon dont il tuait ses proies, dont le nombre s'élève à neuf, incluant "un jeune garçon de Kensington et une jeune fille d'Eastbour-ne. Haigh précise n'avoir jamais agi par appât du gain, mais à la suite de ses rêves montrant une forêt de croix sanglantes.

- Après chacun de ces rêves, il me fallait ma pinte de sang, expliquera-t-il.
Le 1er avril 1949, l'instruction est close. Haigh a subi de nombreux électroencéphalogrammes.

Les psychiatres mettent en doute son vampirisme et le déclarent sain d'esprit. Le procès s'ouvre le 18 juin 1949. Plus de quatre mille curieux se pressent aux portes du tribunal. Peu entreront. Le ministère public place les débats sur le terrain du crime crapuleux, et du gain rapide, le mobile estimé de Haigh.

Quant à son vampirisme, il est balayé d'un revers de main par le magistrat qui révèle que Haigh a lié amitié, quelques années avant, avec un infirmier travaillant en hôpital psychiatrique, qui lui aurait révélé les "secrets" des malades obsessionnels ou paranoïaques.

Malgré les efforts de la défense, Haigh est reconnu coupable et condamné à être pendu. Pour désarmer ceux qui auraient encore des doutes sur l'état mental du condamné, la justice britannique le soumet à de nouveaux tests psychiatriques conduits par des médecins indépendants. Tous l'estiment sain d'esprit. Haigh sait sa fin proche, il clame n'avoir peur ni de la corde, ni de la mort. Il écrit une longue lettre à Barbara, un bref message à ses parents, qui refuseront de lui rendre visite. Sa mère chargera un journaliste de lui transmettre son affection.


LA POTENCE

Les responsables du musée de Madame Tussaud, à Londres, un établissement célèbre pour sa chambre des horreurs où se côtoient des dizaines de grands criminels, approchent Haigh en prison et lui demandent s'il accepterait de figurer dans le musée. Ce dernier accepte volontiers. Des ouvriers se rendent dans sa cellule et font un moulage de son visage. Haigh demande, par écrit, que son effigie de cire soit toujours soigneusement vêtue d'un pantalon repassé au pli, d'une veste impeccablement ajustée, exigeant aussi que son mannequin ait des cheveux bien peignés, et que les manchettes de sa chemise dépassent "de trois centimètres", comme il se doit.

Le 6 août 1949, à neuf heures du matin, Haigh est conduit à la potence dressée dans la cour de la prison de Wandsworth. La trappe s'ouvre sous ses pieds et la corde se tend. Il sera enterré dans un carré réservé aux condamnés à mort, loin des siens et de Barbara, peut-être la seule femme qu'il ait jamais aimée.
et encore
MessagePosté le: 09/11/2004 23:15 Répondre en citant
Invité




En Bref



Blessé par balle en sortant du bar. Ni agression gratuite, ni véritable règlement de comptes, le différend s'est pourtant soldé par un coup de feu et un blessé, lundi soir rue Cristino-Garcia, un quartier limitrophe d'Aubervilliers. Sa victime, Miguel, un Portugais de 41 ans, aurait même pu être grièvement blessée : se croyant seulement touché au bras, il est rentré chez lui pour s'y réfugier et appeler les secours.


Ces derniers se sont rendu compte que la balle lui avait traversé un poumon... Il est hors de danger. De leur côté, les policiers de la PJ auront quelques difficultés à tirer son « agression » au clair. Miguel sortait d'un bar d'habitués où il venait de se disputer avec un ami, qui l'a suivi dans la rue, restant à une dizaine de mètres avant de sortir une arme et de tirer. Miguel a reconnu « connaître » l'auteur du coup de feu mais a refusé de donner son nom.
La Courneuve Séquestrés par un gang de voleurs. Un jeune couple asiatique a été agressé, ligoté, séquestré et cambriolé par un gang de cinq de leurs compatriotes, dimanche midi dans son appartement du quartier de la Croix-Blanche. Un homme avait d'abord sonné à la porte palière, vers 11 h 30, expliquant au mari, un Chinois de 22 ans, que sa jeune femme lui devait de l'argent. Refoulé, l'homme est revenu quelques minutes plus tard, mais cette fois très accompagné et « équipé » : quatre autres Chinois, armés, ont fait irruption dans l'appartement. Ils ont alors frappé puis ligoté les deux victimes avant de faire main basse sur leurs passeports et divers papiers d'identité, leur argent, ainsi sur du matériel hi-fi et informatique. L'enquête a été confiée à la PJ.
Bobigny La voiture du garagiste retrouvée. Les braqueurs courent toujours mais l'Alfa Roméo 147 volée ce week-end à un garagiste, rue des Lilas au cours d'un braquage au volant, a été retrouvée. Néanmoins, les relevés de police scientifique menés n'ont pas permis d'identifier les voleurs. Vendredi soir, leur victime avait été piégée par deux individus, au sortir de son atelier, et menacé d'un pistolet automatique.
Montreuil Ils attaquent la bijouterie à coups de marteau. Deux hommes casqués et armés d'un marteau ont attaqué, hier matin, la bijouterie de la rue du Général-Galliéni. Vers 10 heures, les deux braqueurs ont fracassé la vitrine à coups de marteau. Ils se sont emparés de nombreux bijoux en or avant de s'enfuir à scooter. Ils n'ont blessé personne. Le préjudice, vraisemblablement élevé, n'avait pas encore été établi avec précision hier soir.
MessagePosté le: 09/11/2004 23:17 Répondre en citant
Pentastar
Tombeur de boite
Inscrit le: 03 Sep 2004
Messages: 916
Localisation: Sud de Toulouse




Tu peux faire un résumé, because j'ai pas pu aller au bout de cette passionnante prose.
D'ailleurs, je ne vois pas ce que ça apporte à l'histoire, le fait qu'il ait acheté une Alfa...  Mr. Green
Stéphane
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MessagePosté le: 09/11/2004 23:48 Répondre en citant
Invité




Communiqué du mardi 2 mars 2004



Incendie

Lundi 1er mars à 2115, les pompiers du Landeron sont intervenus pour un incendie de voiture sur l'AR A5, chaussée Lausanne, à la hauteur de Cornaux. Le feu s'est déclaré pour une raison technique dans le compartiment moteur. Véhicule hors d'usage. La voie de droite de l'autoroute a été fermée à la circulation entre le Landeron et Cornaux durant 2h30 pour les besoins de l'intervention.



Brigandage

Lundi 1er mars 2004, peu avant 1900, deux individus cagoulés ont fait irruption dans le magasin de la Station d'essence Shell, Grand-Bourgeau 114 aux Verrières. L'un tenait un pistolet et l'autre un couteau, genre poignard, avec une lame d'environ 20 cm. de longueur. Sous la menace, ils ont réussi à emporter la caisse enregistreuse après avoir coupé le câble électrique, ainsi qu'un tiroir du comptoir qui renfermait de l'argent. Ce sont quelques milliers de francs et euros qui ont ainsi pu être emportés. Ils ont quitté les lieux au moyen d'une voiture, en direction du Val-de-Travers. Ce véhicule Alfa-Roméo noir, immatriculé dans le canton de Vaud a été retrouvé mardi 2 mars 2004, dans le courant de la matinée à proximité du Jardin public à Fleurier.

Signalements des auteurs :

Un inconnu, 180/190 cm. environ,  20 à 25 ans, corpulence mince, vêtu d'une veste noire, d'un jean's bleu foncé. Portait une cagoule et des gants.

Un inconnu, 160/165 cm, 20 à 25 ans, corpulence mince, vêtu d'une veste noire à fermeture Eclair. Portait une cagoule et des gants.

Parlaient le français avec un léger accent indéterminé.

Les personnes qui auraient fait d'éventuelles constatations avec ces événements sont priées de prendre contact avec la police cantonale au 032 8889000 ou avec le poste de police le plus proche.



Incendie

Mardi 2 mars à 1420, les premiers-secours du Bas-Lac et le SIS de Neuchâtel, sont intervenus à la rue Charles-Perrier 10 à Marin-Epagnier, pour un fort dégagement de fumée sur une cuisinière, suite à une négligence. Pas de dégâts.  



Recherche de conducteur et appel aux témoins

Le conducteur de la voiture WV Golf rouge avec vitre arrière teintée portant plaques neuchateloises, qui mardi 3 mars à 1110, a arraché la barrière du passage à niveau de La Cibourg, ainsi que les témoins de cet accrochage sont priés de prendre contact avec la police cantonale à La Chaux-de-Fonds, tél. 032.968.71.01
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